Les rochers de Bungo Futamigaura font partie intégrante de l’identité de Saiki. C’est un lieu très prisé pour assister au premier lever de soleil de l’année.

Des goma dashi udon faits à partir de bouillon de poisson. On verse les nouilles bouillies dans le bol, puis le bouillon fumant, et c’est prêt.

Le territoire de la ville de Saiki couvre une surface de 903,11 km², ce qui en fait la ville la plus étendue de toute l’île de Kyushu. Située dans la préfecture d’Oita, son littoral très découpé fait face au bleu de l’océan où vivent près de 400 sortes de poissons, mollusques et crustacés. Les langoustes Ise-ebi et les coquilles Saint-Jacques Hiogigai aux couleurs chatoyantes y sont succulentes. Les sushis de Saiki peuvent s’enorgueillir d’une grande variété de garnitures comptant parmi les plus délectables du monde. Proposant leur lot de plaisirs culinaires et d’en-cas à consommer sur place, les marchés et restaurants de sushis accueillent un flot incessant de touristes venus des préfectures voisines.

À Saiki, la nature est florissante. La mer et les montagnes regorgent de ressources, notamment alimentaires. Afin de remercier les esprits de la nature, les autochtones célèbrent divers festivals tout au long de l’année. À l’occasion du festival Johyara en septembre, les pêcheurs locaux et la turbulente jeunesse crient de concert « Johyara ! Johyara ! » (« Que la pêche soit bonne ! ») tout en ramant à bord de bateaux où flottent des étendards colorés portant les mots « pêche abondante ». C’est à qui sera le plus bruyant et le plus vigoureux. Au festival Kiura, qui se tient tous les deux ans, les participants prennent un morceau de radis daikon noirci au charbon pour le frotter sur le visage des personnes qu’ils croiseront, afin d’exprimer leurs vœux de bonheur, dans la bonne humeur.

Les langoustes Ise-ebi et les coquilles Saint-Jacques font également partie des spécialités locales de Saiki.