Shio-maki (gauche) : Aussitôt monté sur le dohyo, le rikishi ramasse une pleine poignée de sel préparé dans un coin et la projette en gerbe d’un air bourru, hargneux ou jovial (ici transparaît le caractère de l’individu). Certains rikishi ont imprimé à cet exercice leur caractère propre, pour la plus grande joie des fans.
Shiko (droite): À la fois échauffement et geet la projette en gerbe d’un air bourru, hargneux ou jovial (ici transparaît le caractère de l’individu). Certains rikishi ont imprimé à cet exercice leur caractère propre, pour la plus grande joie des fans. stuelle de démonstration de puissance avant l’affrontement. Mains sur les genoux, le rikishi lève haut la jambe pour la laisser retomber le plus lourdement possible, même manège avec l’autre jambe.

Extrême gauche : Etre gyoji exige un œil exercé et une tête bien faite pour décider du vainqueur lorsque l’issue n’est pas nette. Lorsqu’une rencontre implique un yokozuna, la rencontre est arbitrée par un gyoji du grade le plus haut. Pour la rencontre de la photo, le tate-gyoji était Kimura Shonosuke, Trente et Unième du nom.
À gauche : Lorsque vient le moment pour les deux rikishi suivants de monter sur l’arène pour s’y mesurer, l’aboyeur, ou yobidashi, psalmodie les noms à la cantonade d’une voix chantante.