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Le pont Hijiri-bashi sur la Kanda. La rame que l’on aperçoit est celle de la ligne de métro Eidan Marunouchi. À l’arrière-plan Les bâtiments de Akihabara Electric Town, capitale mondiale de l’équipement électrique, électronique et électroménager.
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Les papiers japonais washi aux coloris infiniment variés, sont rangés dans des tiroirs typiques. Ce magasin, Yamagata-ya Kami-ten (Papeterie Yamagata) reçoit énormément de commandes de l’étranger.
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La reliure ancienne à la japonaise. La photo montre deux étapes du procédé : couture des pages ensemble au fil (avant-plan) et rabattage vers l’intérieur des bords de la page de couverture (à l’arrière-plan.) Nous sommes chez Shibamoto Japanese Book Binders (Relieur Japonais Shibamoto.)
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Le quartier de Kanda Jimbocho est également très fréquenté par les étudiants des universités et innombrables boîtes de bachotage. Photo prise au pied de la Liberty Tower de l’Université Meiji.
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Les nouilles de sarrasin servies avec une sauce aux graines de sésame dans la boutique centenaire à l’enseigne de Matsu-ya.
Dans cette partie du quartier Kanda Suda-cho, l’on trouve encore beaucoup d’antiques boutiques construites en bois.
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Statue du renard au Sanctuaire Ota-hime Inari veillant sur le flanc nord du Château de Edo.
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Comme au Café de Flore à Paris, l’on risque fort de rencontrer au Café Radorio, ouvert en 1949, des écrivains célèbres sirotant leur café.
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Isseido Shoten est le plus beau, le plus imposant et le plus typique de tous les libraires d’occasion de Kanda Jimbocho.
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L’auguste librairie Kenju Shorin au crépuscule.
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