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Application de l’ornementation peinte sur les pièces à l’atelier du Four Imaizumi Imaemon à Akae-machi.
On entendrait voler une mouche tant la concentration des artistes est intense : l’œil poursuit le détail sur ces porcelaines en cours d’achèvement. |
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Gobelets iroe yusoku mon dans le style nabeshima ; fin XVIIe siècle ; propriété du Musée Imaemon des Antiquités Céramiques jouxtant le Four Imaizumi Imaemon. Le musée expose quelques unes des plus glorieuses pièces d’Arita, particulièrement des nabeshima. Site web en japonais :
http://www.imaemon.co.jp/museum/ |
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Imaizumi Imaemon XIV. Il hérita du nom prestigieux en février 2002. De toutes les méthodes et façons transmises au cours des générations, il déclare être toujours aussi fasciné par la méthode de coloration de la porcelaine dite sumi-hajiki qui se détache si merveilleusement sur l’arrière-plan blanc. |
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La résidence d’Imaemon. |
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Jointoyée à l’argile rougeâtre, cette muraille de jardin, appelée “Mur Tonbai” fut élevée avec les briques et les accessoires qui avaient servi jadis à la construction des fours montants. |
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Le vaste portail torii du Sanctuaire Tozan est lui aussi en porcelaine coloriée en karakusa-mon. |
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Le soir descend sur le cours du Imari. Il y a bien longtemps, d’énormes quantités de céramiques d’Arita passaient l’embouchure du fleuve pour appareiller vers d’autres ports du Japon….et du vaste monde. |
