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Les principaux arts martiaux dans la culture du Japon incluent le sumo, kendo, aikido, judo, shorinji kempo, kyudo et naginata.
Le sumo, qui a aussi été introduit dans la section sur les sports traditionnels japonais, est un sport de lutte à deux personnes dans un cercle. Le gagnant est celui qui arrive à faire tomber son adversaire ou celui qui arrive à leur faire sortir du cercle.
Le kendo est un art martial utilisant un sabre de bambou, casque et une armure. Les deux opposants visent leurs coups d'épée contre le visage ou le torse de l’adversaire.
L’aïkido est une discipline mélangeant différentes techniques, les attaques sont repoussées à mains nues ou à l’aide d’armes telles que des épées ou des lances, en utilisant la force propre de l’attaquant contre eux.
Le judo et le karaté sont souvent confondus, mais ce sont des arts martiaux très différents. Les origines du karaté proviennent de l’art martial chinois du kung-fu, qui s'est développé d’abord en Okinawa avant d'être diffusé à travers le Japon. Le judo est une discipline inspirée du jiu-jitsu qui a été largement étudié pendant l'époque de L’Edo. Vers la fin du XVIIIème siècle le judo est développé par son père fondateur Jigoro Kano qui incorpore des éléments de sports compétitives.
Le Shorinji Kempo est une combinaison du kung-fu, qui a été pratiqué au temple Shaolin, et d’autres techniques arts martiaux d’origine chinoise et japonaises. Le Shorinji Kempo a été établi par So Doshin en 1947 et s’est étendu à travers le Japon grâce à sa popularité croissante. L’objectif de Shorinji Kempo est de s'améliorer et d’atteindre l’harmonie dans soi à travers l'entraînement.
Le kyudo est un art martial qui a pour objectif d’enseigner le maniement de l’arc Japonais. Le but est d'entraîner le corps et l’esprit à travers une série de mouvements. Les styles et méthodes de tir diffèrent quelque peu selon l’école et la région et ne sont pas normalisés.
Le naginata est une grande lance qui a été une force puissante dans les champs de bataille du XVème siècle. Pendant l'époque Édo, ou sa présence dans les champs de bataille n'était pas aussi requise, l'onna-naginata ou “Lance de femme” a été développée. Ce art martial est fortement associées au femmes mais il y a aussi des hommes qui y participent.
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